
Chers internautes,
Bonjour,
À travers le monde, des individus et des organisations s’efforcent depuis des années de lutter contre les discours haineux et racistes. Dans la région des Grands Lacs, ce phénomène n’épargne pas les populations, bien que diverses initiatives soient mises en œuvre pour y faire face.
Dans certaines sphères décisionnelles, des personnes accèdent à des positions d’influence en promouvant un langage qui glorifie la suprématie de leur groupe social, au détriment des autres. Cette prétendue supériorité est souvent revendiquée sur les plans moral, intellectuel ou culturel.
Tout récemment, dans un pays voisin de la RDC, lors d’une manifestation organisée par un parti politique, ce type de discours a été ouvertement tenu. L’un des acteurs majeurs du secteur économique de ce pays le Rwanda, a proféré des propos dénigrants et insultants à l’égard de ressortissants congolais et burundais, suscitant une vague d’indignation dans les pays concernés.
Mais qu’est-ce qui motive le recours à ce type de langage ? Comment expliquer sa persistance ? Et surtout, que peut-on faire pour l’éradiquer ?
Pour en discuter, nous avons le plaisir d’accueillir deux invités. Le premier est Nelson Mitovu, avocat congolais, activiste des droits humains, chercheur en droit international public et acteur politique basé à Kinshasa. Bonjour Nelson, et merci d’être avec nous.
Le second est Johnson Ishara Butaragaza, coordinateur national de la Dynamique Génération Consciente (DYGENEC-RDC), une structure citoyenne engagée dans la sensibilisation politique et la défense des droits des habitants.
À toutes et à tous, merci pour votre fidélité, et bonne écoute/sites/default/files/2025-10/311025-p-f-ctfp44-00_vrai.mp3






