Le choix du conjoint est déterminant pour prévenir la drépanocytose, explique Dr Emery Chandende

Une femme et son bébé le 31/05/2013 à Kinshasa, lors de la cérémonie de lancement officiel du cadre d’accélération de la réduction de la mortalité de la mère et de l’enfant en RDC. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

Deux à trois pourcents d’enfants naissent avec le gêne S dans leur sang en RDC, selon les statistiques du Programme national de lutte contre la drépanocytose (PNLD). Invité de Radio Okapi ce matin, le chef de division en charge des personnes drépanocytaires au PNLD, docteur Emery Chandende, met l’accent sur la sensibilisation pour prévenir cette maladie, notamment lors du choix du conjoint.

«Nous sensibilisons les gens à éviter le mariage entre AS-AS et AS-SS. Les personnes portant le gêne S doivent observer les règles hygiéno-diététique pour éviter des crises à répétition», a-t-il conseillé.

Le docteur Emery Chandende s’entretient avec Michel Kifinda:

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