Que faire pour bien appliquer la suppression des 38 taxes fluviales ?

Quelques pinas accostés sur le port de la RVF le 24/08/2011 à Kinshasa, assurant le trafic entre Kinshasa et Mbandaka sur le fleuve Congo. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

Trente-huit taxes à «caractère illégal» dans le secteur fluvial et lacustre en RDC ont été supprimées jeudi 19 juin par un arrêté interministériel signé par neuf membres du Gouvernement. Ces taxes ne peuvent plus, souligne l’arrêté, sous aucun prétexte, être réclamées aux armateurs et tenanciers des ports.

Et parmi les taxes supprimées, dix étaient perçues par le Commissariat fluvial, huit par la DGM, cinq par la DGDA, quatre conjointement par les FARDC, la PNC et le commissariat fluvial, deux par toutes les provinces (la taxe sur les produits agricoles et celle dite «frais de bulletin de contrôle»).

-    Que faut-il pour une exécution efficace de cette décision?

Invité: Daniel Vulungidi, conseiller fluvial au ministère de transport et voies de communication.

Fichier audio : téléchargez Flash pour écouter.

Thème vendredi 4 juillet 2014

Le 5 juillet de chaque année le monde célèbre la journée internationale de coopérative, l’objectif étant de sensibiliser la population sur l’importance des coopératives et des structures de micro-finance dans la lutte contre la pauvreté et l’amélioration des conditions de vie de la population.

En RDC, plusieurs observateurs font état des difficultés de fonctionnement des coopératives et autres services de micro-finance. Le dernier cas en date est celui de la coopérative Imara qui faute de liquidité n’était plus en mesure de satisfaire ses épargnants.

-    Que faut-il pour rendre les coopératives congolaises plus performantes afin de répondre aux besoins de la population?