Le président en exercice de l’Union africaine s’est félicité qu’une date consensuelle pour la tenue des élections présidentielle et législatives ait été arrêtée et le respect intégral des dispositions de la constitution réaffirmé.
Le G7 considère que cet accord politique «n’engage que la majorité présidentielle et ses alliés», le report des scrutins présidentiel et législatifs ne se justifiant pas, selon cette plateforme.
Les participants au dialogue ont notamment convenu d’organiser la présidentielle dans un délai de 6 mois après la convocation du scrutin le 30 octobre 2017.