De son entretien avec le président Felix Tshisekedi, il retient l’existence d’une vraie volonté de mener des réformes afin que la paix revienne en RDC.
Selon lui, ce contrôle pourrait non seulement augmenter les recettes de la RDC, mais il mettrait aussi fin aux financements « illégaux et horribles dont bénéficient les groupes armés et les terroristes ».