Actualité.cd : « RDC : Tshisekedi nomme l'essentiel des membres de son cabinet »

Revue de presse de ce vendredi 8 mars 2019

La nomination à ce jour des membres du cabinet du chef de l’Etat et l’évolution du discours de l’archevêque de Kinshasa sont parmi les sujets qui intéressent la presse en ligne de ce matin.    

Actualité.cd fait savoir que le président Félix Tshisekedi a nommé l'essentiel des membres de son cabinet. Le média cite par exemple le professeur Casimir Eberande nommé directeur de cabinet adjoint du chef de l’Etat chargé des questions juridiques, politiques et administratives.

Dès sa prise des fonctions au palais de la Nation, Felix Tshisekedi avait placé Vital Kamerhe à la tête de son cabinet, rappelle le site.  

Concernant ces nominations, La Prospérité affirme qu’en « RDC : enfin le cabinet de Tshisekedi affiche complet ! ». Ce journal rappelle quelques nominations que le chef de l’Etat a eu à opérer juste après sa prise des fonctions au mois de janvier, comme le cas de François Beya qui est le conseiller spécial en matière de sécurité du président de la République.

L’autre sujet d’intérêt pour les médias de ce matin, c’est cette vérité de Monseigneur Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa, qui a jugé positif le début du mandat du nouveau président congolais.

« Je dois dire la vérité, les premiers pas du président Félix Tshisekedi vont dans la bonne direction », a déclaré Monseigneur Ambongo dans une interview diffusée jeudi sur RFI que rapporte 7sur7.cd ce matin. 

Selon ce média, le successeur du cardinal Laurent Monsengwo estime cependant que c’est Martin Fayulu Madidi qui avait remporté l’élection présidentielle.

« Il est clair que Fayulu a gagné, mais il y a un président qui est là, nous devons composer avec lui » a insisté l’archevêque de Kinshasa, repris par 7sur7.cd.

Politico.cd évoque la même interview et parle de l’intérêt supérieur du peuple qui a poussé l’archevêque à reconnaitre que « même si les résultats des élections publiés par la Commission Electorale Nationale Indépendante ne correspondent pas à la volonté du peuple, l’intérêt supérieur de la nation veut que nous reconnaissions qu’il y a une forme d’alternance », a déclaré Fridolin Ambongo cité par ce média en ligne.

 

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